On continue à agir.
D’autant plus qu’il ne s’agit pas uniquement de récupérer les 2 ans de retraite que Macron et son monde menacent de nous voler, mais d’aller beaucoup plus loin, de reprendre l’offensive.
L’enjeu de notre mobilisation dépasse celui des 2 ans de retraite que le gouvernement voudrait nous imposer. Il est temps d’imposer des revendications offensives par nos armes, par la grève et la force du nombre, par la mise à l’arrêt de l’appareil économique qui ne défend pas l’intérêt des nôtres, qui précarise et opprime l’ensemble de notre classe sociale.
Arrêtons tout pour l’exemple d’une victoire des travailleurs et travailleuses dans la lutte, pour que la phrase « qui aurait pu prédire ? » soit nôtre, pour que cette attaque d’ensemble soit celle de trop et que la réponse d’ensemble apportée sonne le début d’une nouvelle ère du processus de lutte des classes.